Une extrême droite réduite, toujours divisée et fragilisée

[RésistanceS – Mercredi 26 septembre 2018]


INTRODUCTION DU DOSSIER SPÉCIAL ÉLECTIONS 2018 (épisode 1/9) – Sur la base des résultats électoraux, en octobre 2012, le journal en ligne RésistanceS concluait son dossier sur les élections communales et provinciales ainsi : « L'extrême droite francophone très mal en point » (voir lien ci-dessous). Six ans plus tard, sa situation est encore plus négative. Si la demande chez les électeurs est plus forte que jamais en Europe pour les « populistes » xénophobes et autres « identitaires », l'offre de partis les représentant en Wallonie et à Bruxelles est exceptionnellement très divisée, rare, confuse et maigrichonne.

Le dimanche 14 octobre prochain, dans une vingtaine de communes de Wallonie et dans deux communes
bruxelloises, l'électeur tenté par le vote extrême, populiste, xénophobe, islamophobe, identitaire et nationaliste pourra exprimer sa rancoeur. Contre les migrants, les réfugiés, les islamistes, les politiciens, les gauchistes, les journalistes et bien d'autres présents sur les listes noires des dernières incarnations de l'extrême droite francophone.

Le web-journal RésistanceS, comme depuis sa création, il y a plus de 21 ans, vous propose, à nouveau, un « dossier spécial élections » en neuf épisodes.

A partir de la fin de ce mois de septembre et jusqu'à l'après élections, ce dossier sera alimenté par des articles décrivant dans le détail l'état des lieux de l'extrême droite francophone. Des extrêmes droites : AGIR, mouvement Nation, Nouvelle Wallonie alternative, Parti des pensionnés, Parti wallon, Agir ensemble, Démocratie nationale, Front wallon ...

Avec aussi un focus sur le nord du pays où le Vlaams Belang survit toujours dans l'ombre de la N-VA. Mais encore, avec un autre coup de projecteur sur les partis de la « droite décomplexée » (Parti populaire, Valeurs libérales citoyennes, La Droite ...) qui parfois s'adressent, en axant la pointe de leur curseur programmatique sur des thèmes chers aux populistes, tout comme certains candidats du MR, à l'électorat orphelin du Front national. Avec une question essentielle : sont-ils d'extrême droite ?


MANUEL ABRAMOWICZ
RésistanceS | Observatoire belge de l’extrême droite  | 



NOTRE DOSSIER SPÉCIAL ÉLECTIONS 2018


ÉPISODES DÉJÀ EN LIGNE



Introduction de notre dossier
Une extrême droite réduite, toujours divisée et fragilisée (1/9)



La Coordination patriotique a implosé en plein vol au profit d'AGIR (2/9)


Des listes d'extrême droite ! Où et combien le 14 octobre 2018 ? (3/9)

Extrême droite francophone : qui est qui ? (4/9)


Ils ne sont pas présents aux élections du 14 octobre 2018, pourquoi ? (5/9)



Des ex-frontistes belges se revendiquent toujours en octobre 2018 de Marine Le Pen (6/9)



La « droite décomplexée » est-elle d'extrême droite ? (7/9)





PROCHAINEMENT EN LIGNE

DANS NOTRE DOSSIER SP
ÉCIAL ÉLECTIONS







Le Vlaams Belang quitte ou double (8/9)



Bilan des élections de 2018 pour la droite pure et dure (9/9)




LES AUTRES DOSSIERS SPÉCIAUX ÉLECTIONS DE RESISTANCES






































































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